test
«Les expéditions mènent toujours vers de nouvelles rives. Laissons le vent battre nos voiles ; le hasard nous mènera où le bon Dieu le veut. Le monde est tellement grand, nous n'avons même pas touché la moitié du sable que la Terre a à nous offrir.

Ces nouvelles terres sont magnifiques, voilà qui est assez pour réveiller les pires défauts chez nos dirigeants.

L'être vivant est avare ; Pourquoi se battre entre nous pour l'appropriation de ces nouvelles découvertes ? Pourquoi vouloir en tirer profit, et vider ces terres de toutes ses richesses et ses ressources ? Ces terres déjà habitées feront-elles plus de mal que de bien à l'humanité ? »

Et toi, que feras-tu de ces découvertes?
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Sam 28 Déc - 17:18

Thregan Nurevarath



Identification

Nom: Nurevarath
Prénom: Thregan
Date de naissance: Au crépuscule de l'hiver de l'an 1442
Sexe: Masculin
Orientation sexuelle: Hétérosexuel
Pays et ville d'origine: Village d'Esberynn, côte ouest de Xavaar.
Race: Elfe
Dieu: Élevé selon les préceptes de Phara, débauché par ceux de Nather.

Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui[X] | Non[]

Derrière l'écran

Surnom: Kernunn
Âge: Passé l'âge de mettre des couches, mais ça pourrait revenir dans quelques décades.
Comment avez-vous trouvé le forum: Via topsite
Autres personnages: Preum's
Fréquence de connexion: En moyenne deux a trois fois par semaine
Commentaires: Pour le moment R.A.S

Description physique

On peut parler de l'essence riche et séculaire de leurs âmes, celées dans des écrins sculpturaux, nimbés d'une beauté fragile. On peut aussi oublier ces icônes, car il n'est pas porteur de leur grâce, il se plait à jouer de ces conventions, quand il ne les brise pas. L'ombre pâle du tripot se confond aisément avec l'or sale qui file entre les mains besogneuses et crasseuses des baroudeurs ; Son éclat ne peut se deviner que dans la plus épaisse des noirceurs. Léchés par le spectre tremblant des flammes, dansant lascivement sur des perchoirs de cire avachis, les contours anguleux de son visage taillé à coups de serpe, semblent se déformer et se cambrer sous l'empire du clair obscur ambiant. Pareils à ceux d'un rapace nocturne, ses iris aux facettes d'ambre et de citrine, scindés par un nez pointu, semblent réfracter les lueurs vacillantes. Ce sont ces lunes cuivrées, qui ont probablement guidé vos yeux dans les ténèbres. Sa silhouette haute et filiforme, semble presque irréelle, perdue qu'elle est dans la brume âcre et suffocante, crachée par le fourneau de la longue pipe en écume de mer, pendue au coin de ses lèvres charnues. On jurerait que l'une de ses commissures s'affaisse sous le poids de la douleur, avant d'entrevoir la ravine qui lézarde sa joue, serpentant jusqu'au galbe de son menton. Comme un masque fendu, un transi brisé, une partie de sa chair est raidie par le souvenir de cet outrage. Jamais il ne pourra totalement vous sourire. L'encre bleue parcourant la peau de son visage et de son torse, a probablement pour but d'escamoter sa balafre. Si elle n'est pas porteuse d'autres messages. Fendant avec arrogance les vagues d'un blond cendré qui auréolent son crâne, ses oreilles longues et effilées trahissent son ascendance. Certains jugeraient, à la forme de ces pavillons, que l'elfe est légataire d'une lignée dont le sang n'a pas encore été brassé par le métissage.
Il se lève enfin, quittant l'assise d'une chaise vétuste, son trône branlant n’émet aucune plainte. Il est particulièrement grand, plus que vous ne l'aviez estimé ; Il l'est assez pour dépasser la plupart des veilleurs avinés, d'une demi tête. S'il n'affiche guère une charpente impressionnante, il n'est pas dégingandé pour autant, sa silhouette bien que longiligne est ciselée, entretenue. Puissance et agilité se devinent dans sa posture comme dans son allure. Il aime ce qui brille, en témoigne la  pendeloque d'argent en forme de lame, qu'il arbore, entre autres breloques ; Il aime ce qui chante, danse et transporte, en témoigne le sabre pendu à son flanc gauche. Ceux qui ne laissent aucun artifice user et abuser leurs sens, prêteront probablement attention au manche caractéristique d'une percemaille, ceinte par un renflement vertical, cousu à même son ceinturon. Une main pour guider l'assaut ennemi, l'autre pour accorder la miséricorde. Cette menace reste fugace, elle est rapidement occultée sous une couche de cuir sombre ; Sur le lin immaculé, s'ajuste désormais une longue veste aux revers d'un bleu roi, ornée de lanières aux attaches d'or. Les hautes bottes claquent sur le plancher, battant la mesure de concert avec de petits croissants d'acier alignés, pareils à des rivets, dans la doublure de son manteau. Les initiés le savent, il convient parfois d'administrer la mort à distance. Aucun ruffian ne se trouve assez d'audace pour lui témoigner ne serait-ce qu'une once de défiance, peu d'entre eux seraient en mesure de mettre un nom sur son visage, mais "L'elfe au demi Rictus" leur est familier. L'habitué paye rubis sur l'ongle, quand ce n'est pas sur le fil, ceux qui le savent préfèrent éviter toute "négociation" avec lui, sous peine de devoir s'acquitter d'un tribut trop lourd pour eux : Celui de leur sang.


Description psychologique
Il y a le masque arboré par nécessité, les échos d’un mythe portés dans les larmes et le sang ; Des perles de gratitude, d’affliction … De souffrance. Pour les profanes, Thregan n’est qu’une âme corrompue, pervertie par les affres de la guerre, embrassée et embrasée par la cruauté de ses adversaires. Arbitraire, intransigeant, parfois cruel, il n’est que pragmatisme lorsqu’il est question d’écraser l’opposition, un artisan faucheur pour qui la fin justifie les moyens ; Pour qui une cause excuse les pires atrocités. Souvent il a trompé la mort, pourtant elle continue de le suivre, de se confondre dans son ombre, d’imprégner son sillage de sa présence. Illisible, indéchiffrable, on se contente de l’interpréter, de spéculer pour trouver la faille. Elles sont nombreuses sous le voile de sa résilience, autant de plaies qui refusent obstinément de se refermer. Il connait la discipline, l’art de compartimenter ses émotions et ses passions aussi belles que sombres. Elles ne l’abandonnent jamais, elles rougeoient sous les cendres, n’attendant qu’un souffle pour s’embraser avec plus d’ardeur que jamais. Il sait que l’ordre, la quiétude et l'harmonie ne peuvent précéder que le chaos, la fièvre et les conflagrations ; S’il appelle la paix intérieure de ses vœux, il accepte de payer pour l’acquérir.
Il aurait pu devenir un de ces pantins serviles, confortés par les promesses du lignage, il n’a pourtant jamais trouvé sa place dans ce système, aussi bien par fierté, que par dignité. Il ne courbe l’échine que par estime, il est de ceux pour qui le respect n'est pas un droit, mais un mérite. Il semble ignorer jusqu'à l'influence insidieuse des dieux, pensant qu'il est maître de son destin. Lui reste encore la rassurante certitude de choisir les voies qu'il accepte d'emprunter, peu importe qui les trace.
Loin de ces considérations, il suit une forme de pèlerinage, une quête de foi en "l'humanité" ; La sienne, comme celle des autres. Cette poursuite l'emmure dans une solitude, aussi réconfortante qu'accablante, elle l'empêche bien souvent d'entrevoir le meilleur, focalisant son regard sur les ombres. De celles qui menacent de l'engloutir. Il y a aussi un désir de transmission en lui, de partage, un rêve que sa nature farouche, instable, rend de plus en plus irréel ; Une espérance étouffée par la bêtise et les ambitions régissant les actes du plus grand nombre. L'absence de contrôle est une chose qui terrifie Thregan, à l'instar de la magie ; Celle qui l'habite comme les manifestations de certains "Arts obscurs". S'il se soucie de son intégrité physique, c'est avant tout la stabilité de son esprit, qui semble le préoccuper.
S'il est en capacité d'ignorer l'ascendance de ses contemporains, il semble garder de tenaces préjugés à l'égard du peuple Görenien, plus encore qu'à celui des démons. Il reste en outre sur la défensive avec la gent féminine, s'il affectionne comme tout autre, les jeux et arcanes de la séduction, il ne s'en laisse que rarement conter et se montrera implacable avec celles et ceux qui pourraient faire insulte à son intellect ; Certains héritages se confirment, surtout lorsqu'il brandit et révèle dans les instants de faiblesse, l'orgueil Xavaarien. Comme tous les écorchés, il est à fleur de peau, perceptif et réactif, ombrageux ; Si son courroux ne se manifeste que rarement, il est suffisamment contenu pour être exalté et terrifiant, lorsqu'il abandonne tout contrôle. Il trouve quelques exutoires dans la poésie, l'écriture et la méditation, mais la plume ne défait pas toujours l'épée. Ces traits sont tout simplement ceux d'un idéaliste, pour tout ce que cela comporte de beauté et d'horreur ; Des plus grands hommes aux monstres les plus terrifiants de l'histoire, tous ont eu des rêves et des aspirations pour ce monde. Ou pour "un" monde, modelé à leur image.



Description de la magie Sanguinomancienne

Type de magie: Sanguinomancie

Description:
" L'essence capturée, la flamme étouffée, la lumière enfermée dans l'ombre de la conscience, la promesse céleste s'est ancrée dans la chair et s'est occultée dans le sang."

Niveau mineur:
Cette forme de magie ne se dévoile pas, elle vit en lui, elle est son alliée et son ennemie. Elle lui a été insufflée ou s'est éveillé pendant ses années de captivité, aux mains des infernaux. Compagne volage, elle le pousse à l'ivresse pour mieux le trahir, il la dissimule pour sa nature illicite, essaie de l'oublier pour les souvenirs qu'elle amène avec elle. Au premier sang versé, elle s'embrase. Ce n'est pas un feu visible, mais un brasier intérieur. Il ne le contrôle pas, il agit sur son corps aux premières meurtrissures, sa chaleur semble consumer son sang et ses vapeurs éveillent une transe. Elle ne soigne pas les plaies, elle les cautérise et son influence permet de dépasser la douleur.
Niveau mineur - CONTRECOUPS:
Elle n'offre qu'un second souffle provisoire, l'illusion d'une vitalité et d'une puissance fugace, mais à son départ, elle emporte plus qu'elle ne donne. Ankylose les muscles, harasse son réceptacle, le laisse en proie au tourments qu'elle a escamoté jusqu'ici. Plus son étreinte est longue, plus l'exsanguination menace. Elle n'est pas visible, sauf pour les initiés à ses arcanes impies.

Niveau intermédiaire:
L'intensité et la voracité de la flamme grandit, elle se laisse entrevoir, luisant dans le prisme de ses yeux, s'élevant de sa peau en maigres volutes rouges et fuligineuses. L'ambre de son regard devient or, il luit d'une radiance aussi magnifique que terrifiante. L'ivresse ne se contente plus de jouer sur l'endurance, elle affûte ses réflexes, les vagues méphitiques de rage semblent nourrir sa force et sa vivacité.  
Niveau intermédiaire - CONTRECOUPS:
Elle consume aussi sûrement le sang, que l'âme, la rage croissante accapare peu à peu la conscience du porteur. Plus long est son empire, plus l'envie d'y céder est grand et elle ne laisse dans le sillage de celui qui en abuse, qu'un corps vidé de toute énergie, au bord de la conscience ... Voir, aux portes de la mort.

Spécialisation majeure:
Il ne s'est encore jamais autorisé cette expérience et redoute son ascendance. Probablement à raison.
Niveau majeure - CONTRECOUPS:
Les accepter serait très certainement l'aveu de son abdication, de sa défaite. S'il ne bascule pas dans la folie, il ne sera plus qu'une coquille vide, livrée au seul joug d'on ne sait quel tourmenteur.


Histoire et passé
La mémoire aime la violence, imprègne des lieux de ses miasmes, marque les âmes au fer rouge ; De ces six longues décades, je ne parviens que rarement à extraire des moments d’insouciance et de plénitude. Des fragments épars de ma jeunesse sur les berges immaculées d’Esberynn, sur le fief de mon oncle Ulariand. J’en garde le souvenir de l’air iodé porté par les embruns de la mer, de la douceur du sable, des promesses et des menaces perdues aux confins de ces étendues d’apparence placides. Là où je pouvais parfois apercevoir des voiles sur les lignes d’horizon, glissant entre les azurs comme des oriflammes fantomatiques. Je me remémore aussi les rares visites de mes géniteurs, Amundal et Elarë, d’eux je n’ai gardé que l’empreinte de parfums : Ceux de fleurs aux notes ambrées, mêlés à une odeur cuivrée. Je sais que j’ai vécu loin de miens afin d’être « formé », intronisé en quelque sorte … J’étais promis à un noble statut, de ceux qui ne se trouvent pas dans les cercles majeurs du pouvoir établi, mais dont l’influence suffisait à mettre en émoi le jeune garçonnet impressionnable que j’étais. La perspective que l’on me proposait ne me plaisais guère, j’imagine que c’est pour cette raison que j’ai choisi de fuir mes responsabilités et d’intégrer les trop rares expéditions Xavaariennes lancées sur les flots.

De mes premières années d'homme à bord du Maegorod, j'ai tiré nombre d'enseignements. J'ai découvert foule de cultures, appréhendant leurs façons de voir le monde, tout comme celles de faire la guerre. Ces cycles de baroud, d'exploration, m'ont aussi confronté à une réalité plus inquiétante ...
Les velléités expansionnistes des humains, les rancœurs anciennes à la source de guerres intestines et surtout la faiblesse de mon peuple, au delà de ses terres. J'ai du apprendre à survivre, à passer mes classes en m'inspirant de préceptes nouveaux, parfois barbares. Avec plus de raison, j'ai réussi à poser un regard sur les ressemblances susceptibles d'unifier nos peuples et je les ai trouvées. Certainement pour le pire.

C'est à notre retour de l'archipel, après de fructueuses rencontres avec les peuplades insulaires, que notre navire a été attaqué. Sans réelle coordination, ni armement adapté, le Maegorod a rapidement été dévoré par une pluie d'acier, de feu, de sang ; Gangréné par un essaim sanguinaire, une cohorte de pirates qui n'a pas tardé à l'occuper. Sous leur joug, charriés sur les océans à l'ombre de leur pavillons, nous nous sommes retrouvés captifs de notre propre coque, condamnées à survivre à fond de cale. Ceux qui n'avaient pas été massacrés durant l'assaut, ne tardèrent pas à mourir d'inanition, de soif ... De désespoir ; Je suppose qu'il était question de nous affaiblir pour nous rendre plus ... Dociles. Ces visions floues, rythmées par les pleurs, l'abandon, les corps décharnés de mes frères, n'ont su l'occulter. Elle. Sa voix lointaine fut le premier de ses tourments, l'ouïe fut le premier de mes sens mis à l'épreuve. Mes yeux habitués à l'obscurité furent ensuite agressés par la lumière crue et stérile du ciel, craché en faisceau ardent sur ma peau déshydratée et tirée, si bien que je n'avais pu qu'apercevoir une ombre informe s'approcher de moi. Certains, trop faibles pour pleurer, implorer, s'étaient contentés de se recroqueviller. Pas moi. Les iris flagellés par l'impitoyable astre diurne, je gardais le menton relevé, puisant dans ce qu'il me restait de force, afin de me relever. Trop digne pour accepter de "survivre" comme un parasite, acceptant le seul luxe qu'il me restait. Celui de choisir comment mourir. Un ultime pied de nez et une bien maigre gloire, que personne n'irait louer.
Elle avait déjà pris sa décision et posé sa sentence, au moment même où ses yeux d'un rouge carmin, s'étaient posés sur moi.

Elle s'appelait Anzeshera.

Ce nom, j'ai appris à le redouter, à le prononcer dans mes songes agités, à l'expirer dans un large spectre d'émotions, allant de plaisirs coupables, jusqu'à la douleur. Elle m'avait acheté et ramené au large de Revalgoth, pour me garder, me celer, comme nombre de ses possessions mal acquises. Brûlant ma peau au contact de la sienne, bistrée, veinés d'éclats rougeoyants, tantôt douce puis épineuse. La caresse de ses doigts graciles, achevés par des serres meurtrières, sa chevelure de sang coiffée de cornes d'un noir mât. Vision d'une ignoble beauté ; D'une magnifique horreur. Il m'a fallu des années pour comprendre que chaque châtiment était dans son esprit vicié, un gage d'elle même, une forme d'abandon ; Plus encore de temps pour m'affranchir, pour comprendre que même enchaîné à elle, elle était aussi mienne. A travers ses yeux, j'ai observé le monde sous un angle différent, apprenant à m'adapter à un univers qui n'était pas le mien, draguant les profondeurs obscures de l'esprit, épanchant goutte après goutte, une soif de justice grandissante. Je suis devenu ce qu'elle attendait de moi : Soupirant, vassal, protecteur ... Parfois tourmenteur et tueur.

La mémoire aime la violence, elle imprègne des lieux de ses miasmes, marque les âmes au fer rouge ... Contrairement à Anzeshera, je n'ai jamais oublié le Maegorod. Jamais. Sa vigilance s'est éteinte dans les soupirs ; Ma puissance, s'est éveillée sous les baisers voraces de ses crocs, les caresses ardentes de ses griffes. Puis est venu ce jour, où elle a trahi quelque chose s'approchant de l'amour ; Une forme de faiblesse. J'avais appris à attiser la convoitise des cours infernales, me promettant aux sérails d'autres pécheresses et à cette erreur, je dois ma cicatrice. Sa marque, sa possession.
A ce mauvais calcul, elle doit sa fin. Ma sentence, ma libération.

Je pense parfois être devenu le réceptacle de son dernier soupir ; Ce dont je suis certain, c'est d'être maudit pour l'avoir couverte du voile de la mort, avec sa propre dague. Cette fine percemaille que j'ai glissé dans l'écrin de son cœur déjà mort, éteint, calcifié ; Cette lame avec laquelle je châtie à mon tour. Pour le plus grand bien.


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Sam 28 Déc - 17:20

Draghan Keroth



Identification

Nom: Keroth
Prénom: Draghan
Date de naissance: 22 novembre 1472
Sexe: Masculin
Orientation sexuelle: Bisexuel
Pays et ville d'origine: Malgoth, sur les terres de Gören
Race: Elfe noir
Dieu: Nather

Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui [X] | Non [  ]


Derrière l'écran

Surnom: Draghan
Âge: 23
Comment avez-vous trouvé le forum: Par le fonda
Autres personnages: Non
Fréquence de connexion: 4 ou 5 jours
Commentaires: J'ai hâte de RP! **

Description physique

L'eau coule sur les cicatrices de mon dos. Ma peau noir ébène se camoufle parfaitement dans la pénombre de la nuit et les reflets de la lune sur mon épiderme se mêle bien aux reflets de la rivière. La fraîcheur de l'eau détend mes muscles tendus pour rendre ceux-ci plus malléables. Ma masse musculaire reflète relativement bien mon soixantes-dix kilogrammes.

Mes cheveux blancs savent se mêler à la broue qui se trouve dans la chute coulant sur mon corps. Sortant du jet de la chute, je tords mes cheveux, brassant ceux-ci pour les voir friser sur ma tête. Ils se placent d'eux-mêmes, contournant mes oreilles longues et pointues afin de les laisser paraître de façon très claire parmi mes mèches de couleur perlée. Ils deviendront vagués une fois secs. Pour le moment, l'eau coule encore de mes mèches devant mon visage. Un visage dépourvu de cicatrices, des traits légèrement arrondis ainsi que des lèvres longues et étirées constamment agrémentent mon visage. J'ouvre mes paupières, laissant paraître d'un côté un iris doré et lumineux sous les reflets de la lune et de l'autre un iris blanchâtre. Votre déduction est bonne: je suis aveugle d'un oeil.

Il est temps pour moi de sortir de l'eau. Je m'avance sur la rive du cours d'eau, montant ce dernier pour laisser l'eau s'écouler sur mon corps interminable. Sortant du cours d'eau, je dévoile un corps meurtri par les cicatrices. Mon torse bien bâti aux lignes déformées par les traces de mon passé travaille fort pour hisser mon corps hors de l'eau. Mes jambes interminablement longues démontrent clairement mon mètre quatre vingt-dix. Je me laisse sécher au vent. Alors qu'un long frisson parcourt mon échine, je me dirige vers mes vêtements.

J'enfile alors rapidement mon pantalon noir et simple. Des chaussures confortables prenant la forme de sandales suivent rapidement. Je saisis ensuite un autre vêtement : une chemise noire aux manches bouffies qui me sert de haut. Par-dessus cela, j'enfile une cape vert foncé et longue, afin de faciliter le camouflage dans la forêt. J'agrippe mon sac à dos où je garde l'essentiel, remontant le capuchon sur ma tête pour dissimuler le perlé de mes cheveux. Je suis enfin prêt pour chercher une place où me cacher et y passer le reste de la nuit.


Description psychologique

Je suis une merde. Voilà pourquoi je dois me cacher. J'ai commis des crimes horribles qui ont fait de moi un homme recherché. Pour couronner le tout, mon plus grand défaut est maintenant la folie qui m'habite jour après jour. Si quelque chose ne me fait pas plaisir, je deviens violent et je ne pense plus. J'agis par instinct... Un instinct dangereux. J'ai fui par peur de me retrouver entre les mains des Velanas. Qui plus est, les autres races ne m'aimant pas plus qu'il ne le faut, je suis devenu un constant solitaire. Je ne sais jamais sur qui je tomberai et je ne fais confiance à pratiquement personne. J'ai toujours cette crainte sauvage qui m'habite : je ne veux pas me faire attraper. J'ai peur de tout le monde. Je suis dans un état de constante méfiance.

J'ai la déprime au bout du nez. Je ne sais jamais ce qui va se passer. Je m'aventure dans les bois à la recherche d'une place où trouver refuge pour la nuit. J'ai le doute qui me hante : vais-je réellement réussir à m'en sortir? Chaque jour est un épreuve et je le vis une étape à la fois. Je ne sais jamais si je me réveillerai le lendemain. Je n'ai pas d'avenir, sauf peut-être l'espoir de pouvoir quitter vers d'autres contrées où je ne suis pas connu comme un fou à lier. Cet aspiration est ce qui me tient en vie, en fait.

Malgré tout le négatif qui hante mes pensées, je dois avouer que j'ai la possibilité de vivre dans la nature. C'est quelque chose qui me plait particulièrement. J'ai appris à me débrouiller seul avec tout, à survivre en forêt, à me nourrir, ce qui fait en sorte que j'aurai une vie bien plus aisée lorsque j'en retrouverai une. Je suis très autonome.

Vu mon isolement, je suis très peu habile, voire exécrable avec la communication. Je ne sais pas toujours quoi dire avec les gens. La seule personne que j'affectionne est Thadiel, un elfe de Basseterre, qui est mon principal soutien. Lorsque je ne vais pas bien, je me dirige inconsciemment vers le village pour le rencontrer. Les gardes me chassent souvent. Il vient me retrouver dans la forêt plus loin lorsqu'il me voit rôder dans les parages. Pour le moment, je suis loin de Basseterre, c'est ce qui me force à trouver refuge... C'est d'ailleurs avec ces pensées que je me recroqueville sur moi-même dans une petite crevasse au bord d'une falaise, prenant mon sac comme oreiller et ma cape comme couverture pour me laisser emporter dans les bras de Morphée.


Description de la magie (type de magie)

Type de magie: La nécromancie
Description: Ma femme... Je me souviens de son visage. Il me revient... Mort! Je l'ai relevée. Je l'ai ramenée de l'au-delà. Du moins, c'est ce que je croyais, jusqu'à ce que je me rende compte que, malgré tous les efforts que j'eus fait par le passé pour apprendre la nécromancie, ceux-ci ne font que m'enseigner à contrôler une carcasse vide et un corps en décomposition. Son visage blafard aux cernes noircis par la nécrose me hante encore. La nécromancie n'est pas créée pour ramener les défunts à la vie, mais pour contrôler leurs corps. Je travaille avec cette sphère de magie à l'occasion, mais très rarement. Je n'en ai plus besoin.

Niveau mineur: Je peux relever jusqu'à trois corps, en garder le contrôle sur plus de 50 mètres et ce, pendant presque une heure. Je ne peux pas leur faire faire des choses impossibles, mais simplement les faire rester debout, et se défendre si nécessaire.
Niveau mineur - CONTRECOUPS: La folie me gagne, parce que je me rend compte que ces corps-là ont déjà été ma femme. N'étant pas sein d'esprit, c'est surtout le contre-coup majeur de ma magie au niveau mineur.

Niveau intermédiaire: Je n'ai pas découvert et je n'en trouve pas l'intérêt
Niveau intermédiaire - CONTRECOUPS:

Spécialisation majeure: Aucun intérêt de découvrir ce niveau encore là
Niveau majeure - CONTRECOUPS:



Histoire et passé

Un souvenir. Mes parents sont là, ils me tiennent par la main. Cette mémoire si... familière, mais si lointaine. J'avais la taille d'un enfant de trois ans. Leur visage tout souriant... Un sourire de malaise, pauvre, peu rassurant. Le genre de rictus qui prévoyait un futur horrible pour un enfant comme moi. Pourtant, à cet époque, je n'étais qu'un môme comme tous les autres de mon âge. Mes parents étaient présents pour moi. Je vivais dans une maison comme les autres sur le bord d'une falaise et j'avais de l'amour... Mais un amour qui ne semblait pas tout à fait sincère.

Un autre souvenir me revenait en tête. Cette fois, j'avais dix ans et j'avais compris pourquoi ce sourire semblait si regrettable sur le visage de mes parents. Pour la société dans laquelle j'étais né, les hommes sont des esclaves, des moins que rien ou encore de simple machine de reproduction... Surtout au sein des Velanas. Oui, plusieurs avaient une vie normale, mais les extrémistes cherchaient à enfermer les hommes à la maison pour éviter qu'ils ne prennent le dessus. Dix ans était l'âge que j'avais lorsque je m'en étais enfin rendu compte. Plus cela allait, plus je voyais clairement la différence de structure entre les hommes et les femmes. Plus les années passaient, plus je prenais conscience de la place que me réservait cette société matriarcale. Le sourire vide que mes parents m'offraient était en réalité cette crainte constante de voir leur enfant devenir esclave. Le regret de voir que, finalement, ils n'avaient pas une fille pour tout gérer, mais un garçon qui allait devoir être soumis toute sa vie.

Des images défilaient dans ma mémoire. J'avais seize ans et j'avais une conjointe. J'avais trouvé une jeune femme qui partageait les mêmes valeurs égalitaires que moi. J'apprenais à contrôler la magie en prévoyance d'apprendre la magie druidique. Je me souviendrai de ses encouragements. Je me souviendrai toujours de son sourire éclatant et de son regard pétillant, chaud. Lors de mes vingt ans, je me rappellerai aussi de sa main dans la mienne, de son courage et de sa force pour me soutenir lors du décès de mes parents. Leur assassinat m'a été très douloureux. Eulalie avait su être là pour moi lors de ce triste événement et je la remercierai éternellement pour cela.

Le jour où tout a basculé défilait en moi, comme à tous les nuits. Une velana s'était infiltrée dans ma demeure. Elle avait assassinée ma femme, la faisant passer pour une meurtrière. Elle avait accusée ma douce moitiée d'avoir tuée bon nombre de velanas par le passé. Le corps de ma douce baignant dans son sang m'a marqué à vie. Depuis ce jour, le mal m'habite, la déprime, la violence, la folie. Tout ça fait de moi l'homme fou que je suis aujourd'hui. Ma vie s'était écroulée à vingt-quatre ans. Je suis mort en même temps que ma femme, mon âme ne sait plus vivre.

La tristesse m'habitait à un point où je désirais la ramener à la vie. J'avais tout fait pour apprendre à contrôler la nécromancie. Je n'avais pas pu faire autrement que d'essayer avec le cadavre en décomposition de ma femme. Évidemment, je ne l'ai pas ramené à la vie. Son visage déformé par la nécrose me hante encore... c'est là que je m'étais rendu compte que la nécromancie n'était pas de ramener à la vie, mais bien de contrôler des corps... Face à l'impuissance, la violence, la rage et la colère s'étaient mis de la partie. L'image de la jeune femme qui avait tué ma conjointe me hantait. Elle me rendait fou de rage. Ne pouvant pas ramener Eulalie à la vie, j'allais donc la venger. Je me souviens encore, un an après l'assassinat bouleversant. La velana meurtrière tuée de mes mains, baignant dans son sang. Je venais d'accomplir ma vengeance... et je pensais bien pouvoir vivre en paix après avoir accomplit cela, mais ce n'était guère le cas.

Je vis encore dans la violence, la rage, la folie. Je vis encore dans le mal-être, même trois ans après avoir tué cette folle. Depuis, j'ai pris la fuite. Cela fait maintenant trois ans que ma vie défile sous mes yeux, comme ça, toute les nuits. Cela fait maintenant trois longues années que je me pavane en forêt, survivant, et essayant de me cacher de ceux qui me recherchent. Je ne veux pas mourir, et je désire réussir à fuir le continent et me refaire une vie ailleurs.

Je verrai, une fois le soleil levé, si je suis encore en vie. Si c'est le cas, je reprendrai mon périple vers ma future vie.

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Sam 28 Déc - 17:24

Lythrana Dalael



Identification

Nom: Dalael
Prénom: Lythrana
Date de naissance: 31 Octobre 1467
Sexe: Féminin
Orientation sexuelle: Bisexuelle avec préférence pour les hommes
Pays et ville d'origine: Malgoth, sur les terres de Gören
Race: Elfe Noire
Dieu: Nather

Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui[X] | Non[]

Derrière l'écran

Surnom: Lythrana
Âge: 21
Comment avez-vous trouvé le forum: Par Draghan
Autres personnages: Non
Fréquence de connexion: 2 à 4 jours dépendamment de mon horaire
commentaires: Très beau forum, j'ai hâte d'être parmi vous

Description physique

La nuit est finalement tombée. Je peux prendre la route sans problèmes, contrairement à quand c'est la journée. J'aperçois finalement une cascade proche d'une rivière. Je me dévêtis lentement pour éviter de faire le plus de bruits possible. Les Velanas dorment durant la nuit, mais je préfère ne pas jouer avec la chance.

Une fois nue, j'entre dans la rivière et me dirige lentement sous la cascade. L'eau coule le long de mon corps de couleur grise foncée : cela est dû à ma maîtrise sur la nécromancie. Mon corps est dénué de cicatrices, de rides ou de tout ce qui peut changer mon apparence. L'eau rend mes cheveux humides tranquillement. Un frisson me parcourt le corps. Mes cheveux sont de la couleur de la neige. Ils sont lisses et m'arrivent en haut des genoux. Je prends le temps de bien les nettoyer, car je dois m'assurer de toujours avoir la meilleur apparence possible.

Une fois ceux-ci propres, je sors lentement de sous la cascade et arrange légèrement mes cheveux, dévoilant ainsi des oreilles longues et pointues. Mes cheveux contournent mon visage aux traits fins et raffinés. Ce dernier est légèrement arrondi et finit en pointe ronde. Mon nez est parfait pour mon visage. Mes lèvres fines et pulpeuses ont normalement plusieurs teintes de rouge à lèvre. J'ouvre tranquillement mes yeux qui sont de la même couleur que la lavande. Je ne peux pas très bien voir durant la journée dépendamment de l'éclairage. Je peux vous confirmer que jouer avec la magie des morts change un corps... De longs cils entourent mes yeux et des sourcils fins sont aux dessus.

On peut apercevoir des signes partant de mon cou jusqu'à ma poitrine, apparemment. Selon ma défunte mère, ceux-ci servent à protéger mon corps de tout changement. Je pris enfin la décision de sortir de l'eau révélant le reste de mon corps. Ma poitrine contient mes seins ronds et fermes, comme si le temps les conservent à leur meilleur. Ma taille fine démontre mes quarante-deux kilogrammes et mes hanches courbées démontre ma féminité. Les muscles de mon corps sont tonifiés, car je suis une chasseuse, mes longues jambes démontre mon mètre cinquante.

Le vent sèche finalement mon corps en lui laissant un frisson. Il est temps que j'enfile mes vêtements, pour l'instant constitués de ma robe longue avec un grand décolleté et des manches longues. Celle-ci ne me nuit aucunement dans mes mouvements, car elle est amples et simple. Je replace aussi mes bijoux qui sont constitués de mes boucles d'oreille ainsi que d'une ceinture. Je ne vois pas l'utilité de porter des bottes dans la forêt.

Je prend ma ceinture qui contient mes trois carquois différents : un contenant des flèches normales, l'autre, des flèches que je peux enflammer et le dernier a des flèches empoisonnées. Un double-fourreau attaché à ma ceinture comporte un cimeterre et une dague. J'entoure ensuite mon fouet autour de ma taille. Je prends finalement mon sac à dos contenant des provisions et quelques vêtements de rechange au besoin. Sur le côté, mes bottes s'y trouve attachées, si jamais je dois les utiliser. J'agrippe mon arc familial de mes fines et longues main. Sur le bout de celles-ci, des ongles d'une longueur parfaite y font apparence. D'aussi loin que je peux me souvenir, cet arc a toujours fait partie de notre famille.

Je suis finalement prête à me déplacer et tenter de retrouver l'ancien mari de ma meilleure amie maintenant défunte. Cela fait trois ans qu'il ne donne plus signe de vie et j'ai peur que mon protégé va faire quelque chose d'idiot. Espérant que je trouve un refuge avant le lever du jour, sinon me déplacer va être plus dur.


Description psychologique

Je me dirige lentement dans le noir, après tout je dois avoir le maximum de vigilance si je ne veux pas finir comme esclave ou bien morte. Les Velanas et moi, nous ne sommes pas vraiment amies, voyez-vous, j'ai tué quelques unes de leur soeur, après tout je suis une chasseuse. Je ne fait que protéger les miens. Je ne crois pas avoir de grande qualité sincèrement, je haïs la plupart du monde et en particulier les hommes... Ils sont litéralement bon à rien et ne serve pas à grand chose à par créer ma descendance ou avoir du plaisir, sinon ils font le ménage. Les autres races elfiques je ne suis pas plus en bon terme, car après tout, c'est de leurs fautes si nous sommes maudit. Je déteste aussi ses foutus Humains ils ne sont pas capable de nous laisser en paix.

Avec le fait que je suis presque aveugle durant le jour, je prends plus de précaution, je me méfis de tout le monde, excepté Draghan car celui-ci est mon protégé et l'unique homme, que je sais qui est utile et fiable, pas comme les autres. Selon certain, je suis folle à lier, d'autres me trouve très ravissante mais sadomasochiste, pas de ma faute si l'homme me donne pas de plaisir et jouis avant moi, il mérite une punition, sa peut varier d'une blessure avec ma dague, mes ongles qui lui déchire la peau ou un coup de fouet, tout est bon pour que j'ai ma jouissance aussi.

Je suis de nature sauvage et la douleur, j'ai appris à l'aimer, autant en la donnant que de la recevoir, mes ce privilège n'est que pour les dames, j'ai tendance à aimer le sexe avec les hommes car la sensation de leur membre en moi, est plaisant, sinon ils sont immonde et disposable. Je n'ai pas vraiment d'attachement, Draghan est le seul qui me reste et avant, il y avait Eulalie mais elle est plus des nôtres...

La nature est probablement ce qui me fait rester pour le moment sur l'île, et que je n'ai pas encore trouver cet idiot qui ne m'a pas donné de nouvelle. Je déteste que l'on m'ordonne et je peux devenir insolente. Au premier abord, je ne fais pas confiance aux autres races et j'ai envies de tuer ceux que je détestes.

J'ai appris jeune à survivre et suivre le monde, mais je n'ai pas grand passe-temps, je dois me focaliser sur retrouver Draghan et le sortir de cette enfers avant qu'il soit trop tard... Je dois avouer que je me trouve pas très sociable, je suis une connasse et je suis arrogante, des traits chez moi qui font en sorte que je n'ai pas d'amis.

Je n'ai pas aussi tenter de traverser sur d'autres îles car j'ai peur de la mer, dès que j'ai de l'eau par dessus la tête, je panique, je n'ai pas appris à nager et cela me traumatise énormément, je sais que pour aider Draghan, nous allons devoirs prendre un navire et cela me fait grandement peur.

J'ai des goûts très élever mais pour le moment je suis heureuse avec ce que la nature me donne pour survivre le temps de trouver mon abruti de protégé. Je n'ai pas peur de me défendre ou d'utiliser les autres pour parvenir à mes besoins, même si je dois utiliser mon corps pour cela ou bien celui des morts.

En parlant de mort, je ne la crains pas, mais je ne l'aime pas non plus, à chaque utilisation de ma magie nécrotique, je brise un peu le voile entre nous et le monde des esprits, vous me croyez folle n'est-ce pas, mais je peux voir ses âmes errantes, leur parler mais bon cela est plus une conversation à sens unique car ils ne répondent jamais.

Je viens de trouver un vieil abris utiliser normalement pour se protéger leur des guerres, je vais y passer la journée car le soleil se lève et commence à m'aveugler, espérant que je ne sois pas capturer ou tuer... mon sac sera une bonne orreiller et je vais dormir sans couverte, pour le moment il ne fait pas trop froid durant le jour.


Description de la magie nécromancienne

Type de magie: Nécromancie
Description: Je peux à ma guise, animer le corps des défunts pour qu'ils me protègent ou bien qu'ils me servent de soldats obéissant, contrairement à d'autre, ma magie est beaucoup plus dangereuse que vous ne le pensez.

Niveau mineur: Je peux animer plusieurs cadavres sans problèmes, mais ma limite est de 20 corps et ce sur une longueur de 500 mètres. La Durée dépend du nombre de blessures que mon corps peut supporter.
Niveau mineur - CONTRECOUPS: À chaque minutes une blessure apparaît sur moi, pour chaque corps relevé et pendant une journée, je vois les esprits des morts.

Niveau intermédiaire: Je peux animer plusieurs cadavres sans problèmes, mais ma limite est de 50 corps et ce sur une longueur de 1000 mètres. La Durée dépend du nombre de blessures que mon corps peut supporter.
Niveau intermédiaire - CONTRECOUPS: À chaque trois minutes une blessure apparaît sur moi, pour chaque corps relevé et pendant deux jours, je vois les esprits des morts.

Spécialisation majeure: Je peux animer plusieurs cadavres sans problèmes, mais ma limite est de 100 corps et ce sur une longueur de 2000 mètres. La Durée dépend du nombre de blessures que mon corps peut supporter.
Niveau majeure - CONTRECOUPS: À chaque cinq minutes une blessure apparaît sur moi, pour chaque corps relevé et pendant trois jours, je vois les esprits des morts.


Description de la magie de soins

Type de magie: Soin
Description: Je peux soigner quelques blessures visible et parfois certaines non visible mais par contre, la douleur d'une blessure qui m'est impossible de guérir ne peut être diminuée. Je ne peux donc pas apaiser la plaie. Avec la connaissance de cette magie que j'ai, je ne pas guérir un membre cassé.

Niveau mineur: Je peux soigner une blessure visible d'une personne, je crois que le maximum que je peux tout dépendament de la gravité de la blessure est d'environ 20 personnes
Niveau mineur - CONTRECOUPS: En échange du soin, la blessure se transfert sur moi et je subis la douleur à la place de mon patient.


Histoire et passé

Pendant que le jour se lève, mes pensées se mirent à me faire souvenir de mon enfance, une enfance paisible et avec des parents qui m'aime, c'est tout a fait normal, je suis une fille, donc je ne subirai pas le malaise et l'esclavagiste que les hommes subissent. Je crois avoir trois ou quatre ans dans ce souvenir, la jeune époque, ou les soucis n'étaient au rendez-vous.

Quelques heures sont passés, un autre souvenir me revenait en tête. J'avais six ans, j'avais rencontré ma première amie, Eulalie, une jeune qui avait un désir de rendre notre société équitable, cela me fesait toujours rire mais elle y croyait, elle fût rapidement ma meilleure amie et ma seule que je me souvienne, j'ai un caractère de merde et je le tiens de ma mère... D'ailleur, je n'ai pas de souvenir de mon père. Je reçu la meilleure éducation et la plus belle vie qu'une gamine pouvait espérer. Le statut social de ma mère était élever car elle dirigeait toutes les chasseuses qui sortait tuer les Velanas ou autres races qui nous envahie. C'est aussi l'âge ou j'ai appris à chasser pas des Velanas, mais des animaux, je devais apprendre la base avant tout.

Le soleil vient d'atteindre le zénith, mes yeux s'ouvre quelque instant, car je me sens trainer, merde j'ai été capturé... Un autre souvenir viens de resurgir, un point culminant de ma vie. Quand j'avais douze ans, je croyais avoir trouvé le parfais époux, un esclave qui m'écouterait et obéïrait à mes moindres caprice sans poser de question. C'est aussi le moment que ma mère me fit les tatouages que j'ai, ceux-ci sont magique qu'elle me disait et allait protéger mon corps des changements, par cela, elle voulait dire, que je n'aurais pas de trait de vieillesse et pas de cicatrice sur mon corps. Ce rituel était dans notre famille depuis longtemps et signifiait le passage de jeune fille à une femme. Nous avons décider de me dépuceler avant le mariage, car je ne crois pas en cette croyance que l'on doit être pur pour se marier. Nous avons fait l'amour, j'avais du plaisir, il était doué pour son âge, mais bon, c'était le premier....

J'ai décidé qu'il me prendrait en lèvrette, je voulais essayer et c'est à se moment que tout chavira, après un certain temps, il ne bougeait plus, en colère, je lui ordonna de bouger, sans me retourner, je savais que je pouvais soigné avec de la magie, mais ce qui suit sort de ma compréhension. Mon futur époux se remit à bouger, il me fit plaisir et j'atteignis une jouissance que je jugeais suffisante, mon corps me fesait mal, quand je me suis retounée, je me surpris à crier, mon futur époux inutile, me regardait d'un regard vide et sans vie.

Je me souviens que ma mère, ouvrit la porte de ma chambre rapidement pour voir ce qu'il ce passait et si j'étais en danger, elle vit mon inutile d'époux mort mais vivant, elle réussi à me faire canceler la magie. Nous avons été dans le salon et elle me dévoilait un secret, je ressemblais énormément à mon père et ma magie que je venais d'utiliser était à quelques ressemblance prêt, comme la sienne.

Dès ce moment, je pouvais apercevoir les esprits des âmes errante, mes blessures sur mon corps était le résultat de l'utilisation de celle-ci. Je me souviens ma mère tenter de me soigner. Nous avons entérré mon ancien promis, aucune larme ne coulait de ma part, les hommes ne méritait pas que je pleures pour eux, il était décidément vraiment inutile.

Je regarde autour de moi, mais vois très mal, la clarté du jour m'aveugle et je ne peux pas voir mes attaquants. La route semblait longue et j'ai le temps de me rappeller mon passé encore une fois.

Entre mes douze et vingt-un ans, rien d'extraordinaire, se produisait, j'appris à maîtriser la nécromancie, la chasse et le maniement des armes de corps à corps et du poison. Je ne voyais presque plus Eulalie, je m'étais isolée de presque tous, j'allais chassé avec ma mère et nous avons tuer énormément, animaux, Velanas, Humains, Elfes, Haut-Elfes, Dwarf, tout ce que je pouvais tuer je le tuais sans pitier, je dois êtres une meurtrière dans plusieurs endroits, mais j'avais besoin de corps pour me pratiquer, les corps des hommes de ma ville étaient déja tous utiliser et brisé. J'avais besoin de plus de jouet...

Je ne me suis pas non plus attaché à personne, j'ai eu des soirées ou que je couchais avec une femme ou un homme, pour les femmes, celle-ci avait le droit de me blesser avec un fouet, de m'attacher, je pouvais me laisser être soumise, j'appris même à aimer la douleur. Par contre, les hommes eux, s'ils avaient le malheur de venir avant moi, je les torturais pour qu'il continue jusqu'à temps que je sois satisfaites. Je sais que ma mère écrit à mon père mais pour le moment je ne connais rien de lui, elle me cache quelque chose...

Vingt-un ans tapant, ma meilleure amie et ma seule amie, c'était trouver un partenaire, ils formaient un couple "égaux", elle avait vraiment des idéaux bizzare, mais je ne dis rien, ils étaient heureux et cela était important pour moi qu'Eulalie soit heureuse, elle le méritait bien.

Mon corps, se balance d'un côté à l'autre, mes ravisseurs ne font pas attention, je vais les tuers jusqu'aux dernier.... Mais bon, je me souviens aussi qu'Eulalie avait eu un moment difficile avec Draghan son époux, les parents de celui-ci étaient mort assasiné. J'avais vingt-cinq ans, je me souviens plus trop des détails, mais la suite de leur vie de couple, fini dramatiquement, je me souviens plus de l'âge que j'avais, mais une Velana avait tué Eulalie... Je venais de perdre ma seule amie, et cela fût la seule fois que j'ai pleuré. Draghan, tenta de la ramener mais en vint... La nécromancie ne servait pas à cela, je ne lui avait pas enseigner ce domaine, il l'à appris seul...

Les années passèrent et deux ans après le départ de Draghan, ma mère mourrait d'une maladie que nous ne connaissont pas. Elle me remit l'arc sacrée de la famille, et me révélait que mon père, un certain Thadiel, était un elfe, cela expliquait mon teint plus pâle, la nécromancie, l'avait encore plus palie et avait rendu mes yeux mauve presque aveugle à la lumière, je vois parfaitement dans le noir mais dépendament de la clarté cela peut être dur pour moi. À partir de ce moment, je détestais ma mère car elle m'avait eût avec un homme dont sa race nous avaient maudit. Je me souviens d'avoir entérré ma mère sans larme.

Je continuais, ma routine, et décidait de quitter le village après les trois ans d'absence de Draghan, je me rendis à la tombe d'Eulalie avant de partir et lui promis de traiter Draghan comme un égaux et de veiller sur lui s'il n'était pas trop tard.

Et ses comme cela que je finis à Basseterre, à être une esclave. Je réussi à éviter mon père le temps de mon séjours, l'humain qui est mon esclavagiste, ma habillé jusqu'au coup et je me dois de rester dans la maison. J'ai fait l'amour avec quand il le voulait, je cuisinais pour lui et nettoyais la maison, mais cela ne fit qu'alimenter ma haine.

Un jour, j'entendis parler qu'il avait trouver des corps dans la forêt et qu'ils les avaient ramener, ces corps avec ceux du cimetière, fût ma salvation. La nuit arrive vite, et je ne veux pas rester esclaves pendant plus longtemps, ça fait déja quelques mois, quand mon esclavagiste s'endormi, je commence mon incantion et relève un total de cent corps, leur ordre, ne tuer personne à part mon esclavagiste et causé le plus de problème possible.

Cela marchait, je pris mes affaires que le connard d'homme avait mis de côté, pendant que celui-ci, était sortie voir qu'est-ce qui fesait tout se bruit et je m'enfuis dans la noirceur de la nuit. Je cours encore pour me sauver, je pouvais sentir les blessures sur mon corps, je suis habitué à la douleur, mais reste que le linge qui frotte sur des blessures n'est pas agréable.

J'ai enfin sortie du rayon de mon contrôle des corps, ceux-ci devraient tous tomber par terre. Mon souffle court et la douleur vive des blessures me fit ralentir le pas. Je peux voir une cabane, je rentre rapidement me changer et retirer ses vêtements sale, exposant mes diverse plaies. Je continue de m'éloigner le plus possible, je passe par le bord de l'eau en m'accrochant au rebord de l'île car je ne sais pas nager. Je trouve de nouveau une cascade pour me laver... mes plaies sont douloureuse...

Je trouve un petit abris dans une caverne, je peux enfin me reposer, j'espère trouver Draghan bientôt. Je commence à être à bout de souffle et mon corps aussi. J'espère être en vie demain, les rayons du soleil se lèvent de nouveau, il est temps que je ferme mes yeux un peu. Me reposer, va me faire le plus grand bien. Malgré les esprits qui se promènent, je trouve mon sommeil car mon corps décide de lâcher prise dû au nombreuses blessures.

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Lun 30 Déc - 20:08

Elise de Greywish



Identification

Nom: De Greywish
Prénom: Elise
Date de naissance: 15 Décembre 1484
Sexe: Féminin
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle (Bisexuelle)
Pays et ville d'origine: Duché du Viermont / Grimaël
Race: Humaine (Gorinn)
Dieu: Nather (Okar)

Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui (X) | Non[]

Derrière l'écran

Surnom: Saewynn
Âge: 29 ans
Comment avez-vous trouvé le forum: Fondatrice et femme du co-fondateur <3
Autres personnages: -
Fréquence de connexion: Fréquente
commentaires: Amusez-vous bien parmis nous !

Description physique

"Alors ils reconnurent que c'était une vraie princesse puisque, à travers les vingt matelas et les vingt édredons en plumes d'eider, elle avait senti le petit pois. Une peau aussi sensible ne pouvait être que celle d'une authentique princesse."



Probablement que votre regard scrute votre corps au travers d'un miroir. Certains s'aiment ainsi et d'autres se détestent. Pour ma part, c'est plus de l'incertitude. Je me compare beaucoup aux autres humaines, car, contrairement à elles, ma peau est plus blanche et la leur varie selon leur provenance. Elles ont aussi des cheveux de couleurs variées, tandis que les miens sont blancs, voir gris dépendamment de l'éclairage.

Les autres humaines sont toutes plus grandes que moi et cela rend mon père triste ou fâché, je ne sais dire lequel des deux. Je suis en dessous de la moyenne de grandeur des femmes avec mes 1,22 mètre. De plus, quand on regarde mon visage, contrairement aux autres, le mien est plus lisse et j'ai des oreilles légèrement pointue et basse. Mon regard toujours triste ou déprimé est de couleur bleue : cela est bien la seule chose que je partage avec les autres femmes. Mon nez est fin et délicat, et mes lèvres rose pâle donneraient probablement envie à plus d'un homme d'assouvir leur plus bas désir. J'ai aussi une marque de naissance, proche de mon oeil droit. Parfois, je place de légères décorations sur mon front quand cela m'en prend l'envie.

Pour ce qui est de ma peau, celle-ci est douce et mes courbes sont parfaitement ajuster à ma grandeur malgré le fait que je sois petite. Je vois souvent des regards d'envie par d'autres femmes, car, dû à mon statut de Princesse, j'ai de très beaux bijoux et mes habits sont toujours fait de haute couture. Mon père m'oblige aussi à porter des chaussure à talon haut. Parfois, les autres femmes sont surprises que je sois si peu vêtue malgré le froid qu'il fait dehors. Mais, sérieusement, je ne sens pas vraiment le froid. On peut parfois remarquer mes veines légèrement plus bleuté que les autres.

Parfois, le soir, j'essaie de sortir pour voir le village sous un autre angle, sans mes beaux habits et mes bijoux luxueux. Je ne fais alors que porter de simples vêtements ainsi qu'une cape qui me cache le visage le plus possible, car, si un garde me repère, je retourne directement dans ma chambre. Cela me donne une légère apparence d'aventurière et je suis plus difficile à remarquer, car je me fond dans la foule.


Description psychologique

“N’essaie pas d’attaquer le démon de front. Il serait trop content que tu t’occupes de lui. Au contraire, traite-le par le mépris, comme un chien gênant dont on veut se débarrasser.”



Je ne crois pas être très intéressante du côté psychologique. J'ai toujours cette amertume et une tristesse sans fin, comme si quelque chose obscurcissait mes jours et mes nuits. Bien que je ne démontre pas vraiment ce qui me tracasse, car j'ai été élevée ainsi, on peut apercevoir mon regard vide et rempli de tristesse. Je ne fais pas non plus de grand sourire, cela a disparu avec le temps.

J'aime bien la solitude, car j'ai de la difficulté à exprimer ou utiliser les bons mots. Cela est probablement causé par le fait que j'étudie tout le temps ou que je suivais des cours en continu. Bien sûr, je ne déteste pas la compagnie des autres. J'aime bien tout spécialement la présence de Karina, ma servante et protectrice. J'adore lire et peinturer, ce sont des loisirs que j'affectionne particulièrement.

Il m'arrive toutefois de sortir explorer la ville sous un autre angle, car, en tant que princesse, tout le monde vous jalouse ou vous envie et vous respecte d'une certaine manière, mais on apprend ce que le peuple pense vraiment de nous, la nuit tombée. Les gens semblent bien m'apprécier, selon ce que j'entend quand je sors, mais ils n'aiment pas vraiment mon père.

J'ai toujours cette impression d'un manque à l'intérieur de moi, comme si j'étais séparée en deux et que mon autre moitié n'était pas présente ou était disparue. Pour ce qui est des relations plus intimes, en ce moment, je n'ai pas d'intérêt envers quiconque et je passe mes envies sur Karina qui semble apprécier cela. Je sais que, tôt ou tard, mon père va devoir me marier pour que je puisse assurer une descendance au royaume.

Je n'aime vraiment pas cette idée d'être uniquement réduite à devoir avoir des enfants et d'en prendre soin pendant que l'homme jouit de tous les autres plaisirs de la vie. Je ne me suis jamais placée contre mon père, car il m'a quand même élevée. Bien que distant, il est présent quand j'en ai besoin.

Je n'ai pas peur en tant que tel de mon père, mais de son courroux. J'évite de le mettre en colère et obéis comme la bonne fille que je suis, mais j'ai une peur de ce qui s'appelle des insectes. Une fois, un navire était arrivé au port et il y avait une espèce de monstre aux nombreuses pattes et yeux. Le capitaine nommait cette abomination une araignée, j'en fais encore des cauchemars.

J'ai tendance à m'isoler souvent pour réfléchir à différentes choses, comme le fait que j'aimerais que mon père me démontre plus d'affection, qu'en tant que femmes nous ne soyons pas juste vues comme des éleveuses d'enfants. J'aimerais aussi revoir ma mère...

Je suis légèrement jalouse des autres humaines qui sont plus grandes que moi. J'aimerais bien faire plaisir à mon père et être plus grande, mais je n'ai pas eu ce cadeau des dieux. En parlant des Dieux, je fais semblant de prier Nather pour faire plaisir à mon père et celui-ci ne l'a jamais remarqué. Je pris plutôt Okar, car je préfère qu'il me protège contre les dangers qui peuvent arriver.

Un jour peut-être, un chevalier ou une chevalière viendra me sauver de ce lourd fardeau qu'est d'être prise comme une moins que rien et de devoir suivre à la lettre tout ce que l'on me dit sans même poser de question. Peut-être qu'à ce moment-là je serai moins insécure.


Description de la magie eau et vent
"Si tu apprends ce qu'est ce monde, comment il fonctionne, automatiquement tu commenceras à obtenir des miracles - ce qu'on appellera des miracles. Mais bien sûr, rien n'est miraculeux. Si l'on apprend ce que sait le magicien, il n'y a plus de magie."



Type de magie: Vous allez probablement penser que je me vante, mais je suis particulièrement doué avec la magie et plus précisément élémentaires. Cependant, quand on n'a presque pas le droit de sortir du château, on doit bien occuper son temps. J'ai suivi des cours et j'ai étudié probablement tous les livres de la bibliothèque royale. Je sais manipuler mon énergie comme personne et je contrôle presque parfaitement la magie de l'eau, celle du vent, ainsi que celle du feu.

Par le biais de mes sphères d'études, je peux aussi contrôler la glace et la vapeur, ce qui me donne une très grande arsenal et surtout beaucoup de choix en manières de me défendre si jamais je réussis à sortir des ses murs glaciaux.

Description: Je ne décrirai point ce dont je suis capable de faire, car je peux approximativement tout créer ce que mon imagination décide. Idéalement, je n'utilise pas vraiment ma magie, sauf si on me le demande ou me l'oblige. Car bien que les sorts faibles et intermédiaires ne me demande presque pas d'énergie et que je n'ai pas vraiment de contrecoup car comme je ne suis pas une guerrière qui se combat de proche, la faiblesse que mes sorts me donne n'est pas un énorme problème, mais pour les sorts majeurs eux me rendre inconsciente immédiatement après avoir lancer le sort.

Pour mes spécialisation, je peux avec l'air l'accélérer pour le rendre plus rapide et en faire des bourrasques pour éloigner mes adversaires. Pour ce qui est de ma spécialisation de l'eau, je peux la contrôler sur de plus grand diamètre. Pour le feu, ma spécialisation, se situe sur l'intensiter de celle-ci.

De plus, contrairement à la plupart des mages, je n'ai plus besoin d'incantation, mais je dois faire des gestuelles pour lancer mes sorts. Le nombre de gestes augmente selon la puissance du sort.


Histoire et passé

"Le passé, ce fantôme qu'on ne touche pas mais qu'on voit, qu'on flaire, comme un lièvre mort : On l'a vu courir, sauter dans la plaine et le voilà sur la table."



Vous êtes vraiment intéressés à connaître mon histoire? Je ne peux malheureusement pas vous raconter mes moments quand j'étais un petit bébé car, comme la plupart, je n'en ai aucun souvenir. Ce que je sais est que je suis née du Roi Vicard De Greywish et de sa femme Irène De Greywish. Sauf que, parfois en me promenant le soir et me mêlant à la foule, j'ai entendu quelques rumeurs sur le sujet de ma naissance, certains disent que je suis un bébé miracle, car dame de Greywish n'était pas capable d'avoir d'enfant. D'autres disent que je fûs adoptée d'une famille de Gorinn du village de Grimaël, tandis que le reste des gens disent que la reine doit avoir du sang dilué, ce qui explique ma différence.

Peu importe les rumeurs, mon enfance s'est passée comme toute royauté qui se respecte, soit: étudier la géographie de l'île, les différents peuples qui s'y trouvent, bien me tenir à la table et quand je marche. Ce cours-là ne fût vraiment pas facile: ma professeur m'a donné quelques coups de cravache pour redresser mon dos. Mon père a remarqué que j'aimais bien jouer avec la magie, que cela me venait tout naturellement. Donc je reçus des cours par des mages. Puis, pour finir, j'apprenais à lire et à écrire. Je n'avais vraiment pas beaucoup de temps pour jouer.

Le seul temps que je passais avec mon père était le soir, quand il me lisait un livre tout en m'apprenant à reconnaître certain mots pour qu'il n'ait plus à me le lire ensuite. Quand je faisais des cauchemars, j'allais rejoindre mes parents dans leur lit et je dormais en sécurité. Mon père n'est pas du genre à démontrer ses sentiments, mais je sais qu'il m'aime, car il envoie toujours des soldats avec moi pour me protéger, me regarde parfois faire mes cours. Quand je lui montre mes réussites, un léger sourire de fierté illuminait son visage pour quelque instant. Avec ma mère, c'était l'inverse: elle passait le plus de temps qu'elle pouvait avec moi, me montrait de l'affection. Tout ce dont une mère sait faire, elle me l'apprenait. J'ai appris à coudre avec elle.

Les années passèrent. À chaque cours de magie, je ressortais épuisée, inconsciente ou remplie de sang. Mon professeur était sévère, mais il reconnaissait mon potentiel et voulait que je l'utilise à fond. Le reste des cours allaient de mieux en mieux, j'ai dû même commencer à porter des chaussures à talons hauts très jeune, car je ne grandissais pas comme les autres enfants de mon âge. Je pris encore des coups de cravache pour me tenir droite. Maintenant je peux marcher avec des livres sur la tête et dans chaque main sans problème, mais ce n'était pas le cas à cette époque.

Je me rappelle plus si cela était à mes huit ans ou mes dix ans, mais je fis la rencontre de Karina Almen. Mon père me la présenta comme ma protectrice et ma servante. Au fils du temps, je développais une grande amitié avec celle-ci. Cette amitié m'a permis de surmonter le départ de ma mère, dû au fait que mon père était un homme imbu de lui-même, égocentrique et que c'était le pire homme sur la planète. Je me rappelle avoir pleuré toute la nuit dans les bras de Karina à ce moment-là.

À partir du fait que ma mère fût partie, mon père devint encore plus distant, je devais assister aux réunions et aux décisions, mais sans parler. J'écoutais les plaintes des nobles et des gens moins fortunés avec une tristesse qui me dévorait à chaque moment. C'est aussi à ce moment-là, que je commençais à sortir le soir pour me fondre dans la foule et connaître un peu mieux le peuple.

J'ai aussi eu mes première coulées de sang à cette époque.  Je devais avoir 12 ans et je me rappelle avoir paniqué, car je ne serais plus apte à être mariée si mon père l'apprenait. J'étais perdue sans ma mère, mais Karina m'expliqua que cela signifiait que je devenais une femme. Je me rappelle aussi avoir commencé à avoir des relations plus intimes avec Karina deux ans après cet événement.

Mes cours se réduisaient, car j'y avais appris ce qu'il me fallait et je n'avais plus besoin de la plupart d'entre eux. Il me restait uniquement celui de la magie et mon père me rajouta un cours pour apprendre à manier la rapière. Je n'aimais guère cela, mais je le faisais pour lui faire plaisir. L'autre cours était de monter à cheval, ce que j'adorais. Quand je n'étais pas aux séances obligatoires par mon père ou à mes cours, je lisais ou peignais pour me détendre.

Quand l'envie m'en prenait, je couchais avec Karina. Depuis que ma mère est partie, je lui avais demandé gentiment si elle pouvait dormir avec moi. Maintenant, je lui demande de coucher avec moi quand j'en ai envie.

J'ai maintenant seize ans, je ne suis promise à personne. Mon père n'a jamais levé la main sur moi pour me battre, d'aussi loin que je me rappelle. Mais me faire enfermer dans ma chambre, cela arrivait très souvent. Je ne peux compter sur personne. Le château est devenu une prison froide et sans vie depuis quelques années. Ma seule amie et confidente, c'est Karina. Je sais que je peux avoir confiance en elle, peu importe ce qui arrive. Je ne sais pas ce que le futur me réserve, mais j'espère qu'il sera plus positif que mon passé.

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Fiche présentation - Page 2 Kume
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Âge : jvis partout, lol
Origine : rien du tout wrergfbhfvdcs
Emploi : erfvrgbhbfvdcs rbsd t esfv sd
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Lun 30 Déc - 20:11

Araki Mao



Identification

Nom: Mao
Prénom: Araki
Date de naissance: 15 décembre 1484
Sexe: Homme
Orientation sexuelle: Hétérosexuelle
Pays et ville d'origine: Duché de Viermont / Grimaël
Race: Gorinn
Dieu: Nather

Je veux jouer avec l'influence des Dieux:
Oui [X] | Non [ ]

Derrière l'écran

Surnom: Yoda
Âge: 28
Comment avez-vous trouvé le forum: Orgie incestueuse
Autres personnages: Pas encore
Fréquence de connexion: Souvent
Commentaires: Bonjour mesdames, belles fleurs au doux parfum enivrant! Me voici à votre service et sous votre charme!

Description physique

Malgré ma vie paysanne, j'ai certains traits princiers. Du haut de mes quatre pieds, je suis grand pour ma race. J'ai une résistance au froid, me permettant ainsi d'en être seulement affecté dans des conditions plus proches de l'extrême que la moyenne des personnes avec les symptômes qu'elles subiraient bien avant moi. Mes veines sont plus apparentes que celles d'autrui, ce qui éveille la curiosité chez certains ou le mystère pour les jouvencelles. Ma silhouette élancée et raffinée attire des regards envieux, désireux et attise plusieurs intéressées. Ma démarche fluide donne l'impression que je flotte avec grâce en me déplaçant. Mon charme est notable et ma sensualité en séduit plusieurs.

Ma peau lisse et satinée est d'une pâleur quasi-fantomatique. De jour comme de soir, mon teint passe du blanc crème à l'ivoire, résultant de mon lieu du moment, que ce soit dans un salon bourgeois ou près d'un feu de camp entre amis. Mes cheveux relativement courts tombent sous mes oreilles et sont d'un blanc-gris argenté qui luisent sous l'éclairage lunaire. De fines boucles se faufilent et donnent du volume à ma crinière. J'arbore souvent une fine tresse avec quelques mèches que je laisse allonger à l'arrière de ma tête. Mes oreilles sont allongées, pointues et plus basses que celles des elfes. Elles portent quelques bijoux à la fois discrets et élégants. Une petite marque de naissance apparaît à la fin de mon sourcil droit. Mes yeux bleus évoquent des saphirs garnis d'étoiles… Celles-ci se manifestent plus souvent en présence de la gente féminine, accompagnées de clins d'oeil charmeurs. Mon regard profond enivre les demoiselles et déstabilise ou obnubile les gens.

Mes habits sont toujours propres et agencés selon mes activités du moment, auxquelles je me rends par divers moyens. Il m'arrive de me faufiler de place en place dans la plus grande discrétion… Mais en est-ce vraiment? Et cela… Même si je peux paraître avoir des vêtements étonnamment fins et légers lorsque la température s'avère fraîche. Attention aux regards avisés, je pourrais être dans les parages sans que vos beaux yeux ne le remarquent, ni me reconnaissent.


Description psychologique

Certains diront que je ne suis qu'un adolescent, que j'ai les hormones dans le tapis et que ça passera avec le temps. Que voulez-vous? Les charmes d'une femme percent mes apparences de jeune respectable et atteignent mon âme telle une flèche de Cupidon! Leur parfum de fleur, leur peau douce comme de la soie, leur apparence si attrayante et charmante, leurs courbes déambulant avec sensualité... Oups, je me laisse aller. Excusez, mesdames, d'être aussi direct, mais je m'enivre de votre grâce. Quand vous êtes au naturel, vous rayonnez. Je vous tiens en la plus haute estime. Vous me touchez au plus profond de mon coeur. J'espère pouvoir goûter encore à ce délice exquis et divin que vous êtes! Laissez-moi vous gâter dans toute votre splendeur, car des joyaux comme vous ne méritent que le meilleur traitement et le plus grand respect.

Notre temps en ces terres est si court! On ne sait ce qui arrivera demain, aussi bien en profiter pleinement avant qu'on ne quitte cette vie. Mieux vaut une vie pleine de rebondissements que de regrets! Alors, sautons à l'aventure et vivons tous nos plaisirs, nos désirs, comme dirait Nather. Évidemment, on doit aussi remplir nos responsabilités, nos devoirs, mais respecter cela et les règles sociétales ne doit pas nous empêcher d'avoir une vue riche d'expériences, de nouveauté, d'exploration.

En plus de ce que j'ai dit précédemment, j'essaie aussi de m'intégrer dans les différentes sphères de la communauté. Après tout, c'est toujours bon d'avoir de bons contacts… Ça ouvre les portes à plein de possibilités et nos connaissances augmentent, tout comme nos capacités et notre potentiel.

Par contre, je me méfie aussi de ces gens. J'utilise mon exubérance pour m'approcher d'eux et ainsi être bien placé, en savoir plus. Cependant, j'ai appris à la dure que je ne pouvais faire confiance à personne... ou si peu. Elle est dûre à gagner et facile à perdre. Même si je suis charmé, ça ne veut pas dire que je suis naïf et que je vais tout laisser passer. On me voit souvent entouré de gens, mais j'agis par moi-même pour fabriquer ce dont j'ai besoin avec ce qui m'entoure sans brimer la nature qui nous berce et nous nourrit.

Ma plus grande peur serait de ne plus être capable de savourer la vie, de ne plus pouvoir aimer, mais surtout de ne pas trouver cette place qui me revient de droit. Au fond, je cherche aussi ma destinée pour combler ce vide à l'intérieur de moi que je ne saurais identifier encore. Il est vrai que les jolies demoiselles m'aident à le remplir, mais j'aspire aussi à plus. Je veux me sentir entier, savoir d'où je viens, qui je suis reellement. Si je peux le faire en assouvissant mes désirs en même temps, je serais au paradis.


Description de la magie
Type de magie: Ayant vécu en terrain nordique, je me suis toujours senti appelé par mon environnement. La rencontre de mentors et de nouveaux amis m'ont permis d'acquérir de nouvelles habiletés en m'enseignant à me servir du milieu et en optimiser son usage, que ce soit en y circulant de façon à m'avantager en  toute situation ou en la manipulant à mon gré sans détruire la nature.. J'ai ainsi découvert malgré moi que j'avais une affinité avec l'eau et l'air, ce qui a parfois nui dans mes techniques de séduction que j'ai heureusement peaufinées avec le temps. Mais ne pensez pas que je vais dévoiler mes secrets aussi facilement en ces lieux. Je préfère garder une touche de mystère.

Description: Je suis à l'image de l'eau et l'air : versatile, volatile et adaptatif. Ces éléments réussissent sournoisement à atteindre leurs buts, peu importe les moyens utilisés, par exemple couler entre les arbres, sur des roches en cascade ou même souffler en rafales. Si les deux se combinent, il est de mise d'écouter les signes annonciateurs afin de déterminer s'il s'agit d'une catastrophe (volontaire, contrôlée ou non) à éviter ou d'un spectacle, d'un cadeau à apprécier.

Comme tout praticien de la magie élémentaire, il arrive qu'on fasse des erreurs, qu'on soit dans le trouble ou qu'on veuille dissimuler son identité pour diverses raisons. J'ai donc développé l'art de la dissimulation. Gare à vous... il peut y avoir des yeux et des oreilles partout! Qui sait où je me peux me trouver? À vous de trouver les indices, si vous êtes assez courageux et perspicaces pour découvrir mes procédés!

Histoire et passé

Depuis ma plus tendre enfance, je vis sur le bord de la rivière dans la ville de Grimaël. Chaque fois que je me questionne, que je me sens perdu ou confus, je vais m'y asseoir pour réfléchir. J'ai grandi dans une famille de navigateurs et de trappeurs. De ce fait, ce que nous rapportions était ensuite vendu dans les différents marchés des terres de Viermont. J'ai donc voyagé maintes fois, voire plus que la majorité des individus de mon âge. Les cours d'eau sont ainsi devenus une source de réconfort et d'apaisement pour moi.

C'est aussi sur les bateaux que mon lien avec l'eau et l'air s'est manifesté. On m'a cherché des mentors avec empressement, car le manque de contrôle de mes pouvoirs causaient beaucoup de dégâts. Ceux-ci apparaissaient de façon intempestive, devenant de facto une source de grands risques lors d'expéditions. Maintes fois, j'ai dû changer d'apparence pour calmer les esprits et laisser retomber la poussière, alors que circulaient plusieurs rumeurs. En m'initiant à l'enchantement et la sorcellerie, on m'a instruit à canaliser ces grandes capacités perçues par mes enseignants. L'apprentissage fut laborieux. Mon énergie se vidait rapidement, au point d'en perdre parfois connaissance. Désormais, je maîtrise mes facultés et je les emploie à mon avantage, selon mes intérêts ou celui du moment.

Il y a plusieurs années, alors que j'avais entre 8 et 10 ans, une dame d'apparence humaine est venue à moi se présentant comme étant ma mère, Olivia White. Ça a bouleversé ma vie et détruit mes repères. Jusqu'alors élevé par une famille de Gorinn qui m'a accueillie à la naissance, je me suis toujours cru orphelin de famille. Vers mes douze ans, elle m'apprit l'existence d'une sœur jumelle, mais en me cachant les détails de son identité sous prétexte de protection pour nous deux, car notre père n'aime pas notre race. Quelle déception que ce fut que je ne pouvais pas connaître ni voir ma famille. Moi qui me croyais seul au monde, me voilà enfin entouré... Mais quelle honte de ne pouvoir la voir! Moi qui espérais tellement avoir une destinée dans ce monde... Une place pour moi, une place qui fait du sens!

À 16 ans, j'explore le monde avec mes propres moyens à la recherche d'une mission, de cet espace qui me fera enfin dire que je suis là où je suis supposé à faire ma vocation, en juste équilibre avec l'accomplissement de mes volontés et envies personnelles.

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